D’abord, rappelle-toi que tu n’es pas du tout responsable de ce qui t’est arrivé.

Tu as peut-être l’impression que plus rien ne fonctionne et tu te sens en colère et responsable. Toutes ces réactions sont possibles. C’est le fait de subir une agression sexuelle qui ne devrait pas être possible. Et tu n’es pas responsable d’avoir subi une agression à caractère sexuel. Le vrai responsable, c’est l’agresseur.

Parles-en à quelqu’un en qui tu as confiance, qui te croira et avec qui tu te sens bien. Cette personne peut-être une amie, tes parents, une enseignante, une tante, un oncle, l’animatrice d’une maison des jeunes, une intervenante du CALACS.

Nous joindre

Même si c’est difficile,

le fait d’en parler te permettra de partager le poids de ce lourd secret.

N’hésite pas à nous téléphoner au

Le CALACS vient en aide aux victimes d’agression sexuelle, qu’il s’agisse d’une agression récente ou non. Il n’est pas nécessaire de porter plainte ou d’avoir l’intention de le faire pour recourir aux services du CALACS.

Nous pouvons t’accompagner ou tu peux te rendre à l’urgence pour passer la trousse médicolégale si l’agression est récente

(5 jours ou moins).

Le but de cette démarche est de prendre soin de toi et d’obtenir le plus de preuves possible si tu décides de porter plainte par la suite. C’est gratuit et confidentiel et gratuit.

Il y a aussi d’autres organismes qui sont là pour t’écouter et t’aider.

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